Madame Vigée Le Brun, Inès de Kertanguy. éd Tallandier
Née en 1755, morte en 1842, portraitiste attitrée de la reine Marie-Antoinette, sollicitée par les cours Européennes, elle connaitra la gloire en Italie, en Autriche, en Russie et en Angleterre.
L'auteur a un a priori positif sur la personne de Madame Vigée Lebrun, et prend le parti de mettre en exergue la beauté et la bonté plutôt que les turpitudes (médisances de jaloux, mariage bancal, rivalités, révolution et j'en passe) ce qui donne un livre apaisant, délicieux. Et ça, ça fait du bien.
Bon, une erreur relevée : le mercredi des cendres ne fait pas partie de la semaine sainte que je sache (page 170). Je ne suis pas assez calée pour juger, mais espère qu'il n'y a pas d'autres erreurs historiques celles-là...En tout cas le plaisir de la lecture est bien là !